Du trucage aux effets spéciaux, rire, pleurer, avoir peur au cinéma : des axes du programme que les élèves d'enseignement optionnel cinéma-audiovisuel ont pu travailler sur site, à la Cinémathèque française de Paris, lundi 18 novembre.
L'exposition "L'art de James Cameron", tout d'abord, qui fait la part belle aux croquis et autres dessins réalisés par le réalisateur d'Avatar, Terminator, Abyss ou encore Titanic. Et qui montre comment les effets spéciaux numériques se sont petit à petit imposés dans la filmographie de Cameron.
Des effets spéciaux qui trouvent leur origine dans le travail de Georges Méliès, précurseur en termes de trucages dès les débuts du cinématographe en France. C'est ce que montre - entre autres - le fabuleux musée Méliès que les élèves ont parcouru l'après-midi, après une incursion dans la bibliothèque de la Cinémathèque, où ils ont été guidés par un bibliothécaire passionné et ravi de transmettre à de jeunes cinéphiles.